RDC: Affaire sodomie à l’ANR, Jacky Ndala a été arrêté et mis en détention provisoir - Tazama RDC
RDC: Affaire sodomie à l’ANR, Jacky Ndala a été arrêté et mis en détention provisoir

RDC: Affaire sodomie à l’ANR, Jacky Ndala a été arrêté et mis en détention provisoir

Jacky Ndala, un membre éminent du parti Ensemble de la République, a été placé sous mandat d’arrêt provisoire lors d’une audience au tribunal de paix de Kinshasa/Kinkole. Cette décision fait suite à une instruction approfondie de l’affaire, qui a été marquée par des plaidoiries des avocats des deux parties.

Selon les avocats de Ndala, cette audience a permis de poursuivre l’examen des allégations formulées contre lui, notamment celles liées à la propagation de faux bruits. Le ministère public a requis une peine de trois ans de servitude pénale pour le prévenu, ainsi qu’une compensation financière de 1 000 dollars pour la partie République et 1 million de dollars pour couvrir les frais de dommages à la justice.

Maître Biselo, l’un des avocats de Jacky Ndala, a expliqué que l’audience a été centrée sur les prétentions de la partie publique, qui accuse Ndala d’avoir diffusé des informations inexactes sur les réseaux sociaux. Ces déclarations incluraient des allégations de viols et de mauvais traitements subis par Ndala pendant son incarcération, des accusations que le ministère public juge infondées.

Actuellement, l’affaire est en délibéré, le tribunal devant rendre son jugement dans le cadre des délais légaux. Cette situation soulève des questions sur la liberté d’expression et la responsabilité des membres politiques dans la diffusion d’informations sur les réseaux sociaux, et elle suscite un large intérêt au sein de la population et des médias.

Josué Mutanava

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Jacky Ndala, un membre éminent du parti Ensemble de la République, a été placé sous mandat d’arrêt provisoire lors d’une audience au tribunal de paix de Kinshasa/Kinkole. Cette décision fait suite à une instruction approfondie de l’affaire, qui a été marquée par des plaidoiries des avocats des deux parties.

Selon les avocats de Ndala, cette audience a permis de poursuivre l’examen des allégations formulées contre lui, notamment celles liées à la propagation de faux bruits. Le ministère public a requis une peine de trois ans de servitude pénale pour le prévenu, ainsi qu’une compensation financière de 1 000 dollars pour la partie République et 1 million de dollars pour couvrir les frais de dommages à la justice.

Maître Biselo, l’un des avocats de Jacky Ndala, a expliqué que l’audience a été centrée sur les prétentions de la partie publique, qui accuse Ndala d’avoir diffusé des informations inexactes sur les réseaux sociaux. Ces déclarations incluraient des allégations de viols et de mauvais traitements subis par Ndala pendant son incarcération, des accusations que le ministère public juge infondées.

Actuellement, l’affaire est en délibéré, le tribunal devant rendre son jugement dans le cadre des délais légaux. Cette situation soulève des questions sur la liberté d’expression et la responsabilité des membres politiques dans la diffusion d’informations sur les réseaux sociaux, et elle suscite un large intérêt au sein de la population et des médias.

Josué Mutanava

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