
RDC/ révision de la loi électorale : « Aujourd’hui le système d’Ensemble pour la République est à mesure de battre qui que soit » ( Patrick Mundeke)
En République démocratique du Congo, depuis quelques jours déjà, les députés nationaux ont entamé au sein de la chambre basse du parlement une série de débats généraux sur la question de la réforme de la loi électorale.
Dans un entretien tenu avec la presse ce lundi 2 mai à Goma, Chef-lieu de la province du Nord-Kivu , le conseiller en charge de la jeunesse du président d’Ensemble pour la République, Me Patrick Mundeke dit ne pas être inquièté sur les réformes ou même les différentes propositions des parlementaires. Pour lui, le problème réside au niveau des gens qui selon lui, trichent avec tout, depuis le début du pouvoir jusqu’à nos jours.
« Moi je pense que le hold-up qui s’est passé en 2018 même le ciel n’était pas d’accord, il y a un carma qui s’en est suivi« , dit-il.
Mundeke reste convaincu qu’aux échéances électorales prochaines rien ne pourra empêcher à son parti « Ensemble pour la République » de conquérir le pouvoir, son parti serait entrain d’enregistrer prêt de 1000 adhérants par jour, fait-il savoir.
« Je crois sincèrement que c’est le carman qui est entrain de chercher ces gens là, malheureusement ils vont s’en rendre compte trop tard et la machine ne sera plus irréversible, je crois que ceux qui aiment le Congo et ceux qui aiment le protéger, doivent les interdire de continuer à bouger la ruche des abeilles, parce que les abeilles vont descendre et je crois que sa risque d’être même la fin de la République démocratique du Congo dans sa forme actuelle. C’est donc une menace très sérieuse « , déclare-t-il.
Pour lui grâce au charisme de Katumbi, le système » Ensemble »est à mesure de battre qui que soit, il justifie cela par le fait que son partie incarne un espoir.
Il en a profité de cette occasion pour lancer un messages aux différents mouvements citoyens et aux structures des jeunes de leur apporter soutien dans cette démarche visant à défendre la constitution.
Freddy Ruvunangiza